Fast fashion du surf : pourquoi on a choisi de faire l'inverse

Une combinaison par saison. C'est devenu la norme. Tu achètes en septembre, tu jettes en avril. Le néoprène craque, les coutures lâchent, l'eau rentre de partout. Direction la poubelle, direction le magasin, et on recommence.

Ce modèle arrange tout le monde. Sauf la planète. Sauf ton portefeuille. Sauf toi, qui te retrouves à racheter le même produit tous les ans.

Chez WETTY, on a décidé que ce n'était pas une fatalité.

Le vrai coût d'une combinaison jetable

Faisons un calcul simple.

Une combinaison d'entrée de gamme coûte entre 150 et 250 euros. Elle tient une saison, peut-être deux si tu ne surfes pas trop souvent. Sur 5 ans, tu auras dépensé entre 400 et 600 euros minimum, pour finir avec une combinaison usée dans ton garage et quatre autres dans une décharge.

Une combinaison WETTY coûte plus cher à l'achat. Mais elle est conçue pour durer au minimum deux hivers en surf régulier — et souvent bien plus. Sur les mêmes 5 ans, tu en achètes deux ou trois maximum. Le coût total est équivalent, parfois inférieur. Et tu n'as pas contribué à remplir les océans de néoprène mort.

Thomas Joncour, qui surfe quasiment tous les jours en Bretagne, utilise nos combinaisons depuis les débuts de la marque :

"Ma dernière WETTY a tenu trois hivers complets. Trois hivers bretons, avec parfois deux sessions par jour. Les coutures n'ont pas bougé, le néoprène a gardé sa souplesse. Quand je vois des potes changer de combi chaque année, je me dis qu'on n'a pas la même définition de la qualité."

Néoprène sans pétrole : pas du greenwashing

Le néoprène traditionnel est fabriqué à partir de dérivés pétroliers. C'est un fait que l'industrie du surf préfère ignorer, ou noyer sous des arguments marketing flous.

Notre néoprène BIO SPONGE est différent. Il est fabriqué à partir de matières premières renouvelables : canne à sucre, poudre de coquillages, hévéa naturel, huile végétale non comestible. 90% de caoutchouc biosourcé, certifié par l'USDA dans le cadre du programme Biopreferred.

Ce n'est pas parfait. On ne prétend pas sauver la planète avec une combinaison. Mais c'est un pas concret vers une industrie moins dépendante du pétrole.

Et contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce néoprène écologique n'est pas un compromis sur la performance. Le BIO SPONGE offre 550% de stretch — parmi les plus élevés du marché — tout en conservant une densité qui garantit chaleur et durabilité.

La colle qui ne tue pas les océans

Le néoprène, c'est une chose. La colle qui assemble les panneaux, c'est une autre.

Les colles industrielles classiques contiennent des solvants chimiques qui s'évaporent lors du séchage. Ces composés organiques volatils (COV) sont toxiques pour les ouvriers qui fabriquent ta combinaison et polluants pour l'environnement.

On utilise exclusivement des colles à base d'eau, sans solvant. C'est plus long à sécher, plus exigeant à travailler, mais c'est la seule option cohérente quand on prétend fabriquer du matériel pour surfer dans l'océan.

Les arrêts aux poignets et aux chevilles ? En latex naturel, pas en caoutchouc synthétique.

Les genouillères ? En SUPRATEX, un matériau technique qui évite les patchs de plastique qu'on retrouve sur la plupart des combinaisons du marché.

Chaque détail compte. Pas pour cocher des cases marketing, mais parce qu'on refuse de vendre un produit qui pollue l'eau dans laquelle on surfe tous les jours.

Le petit atelier vs l'usine géante

Quand une grande marque te vend une combinaison, elle sort d'une chaîne de production industrielle. Des centaines de pièces assemblées à la chaîne, avec des quotas à respecter et des coûts à minimiser.

Nos combinaisons sont assemblées une à une, à la main, dans un petit atelier. Ce n'est pas une posture. C'est une nécessité technique.

Une combinaison qui dure, c'est une combinaison dont chaque couture a été vérifiée. Dont chaque panneau a été positionné avec précision. Dont les galons intérieurs ont été appliqués sur l'intégralité des jonctions, pas seulement sur les zones visibles.

Patrick Beven, ex-surfeur professionnel et ambassadeur WETTY, a visité des usines de fabrication dans le monde entier :

"La différence entre une combi industrielle et une combi artisanale, tu la vois dès que tu retournes le produit. Les galons, les finitions intérieures, les renforts aux points de stress… Chez WETTY, c'est fait comme si chaque combinaison allait être portée par le boss lui-même. Parce que c'est souvent le cas."

Ce que la durabilité change pour les surfeurs réguliers

Si tu surfes une fois par mois, la durabilité n'est peut-être pas ta priorité. Mais si tu es dans l'eau plusieurs fois par semaine, tout change.

Moins de temps à chercher du matos. Une combinaison qui tient plusieurs saisons, c'est du temps gagné. Pas de recherche en ligne, pas d'essayages, pas de période d'adaptation à une nouvelle coupe.

Une performance constante. Le néoprène de qualité ne se dégrade pas linéairement. Il garde ses propriétés pendant longtemps, puis décline rapidement. Avec une combi jetable, tu passes la moitié de la saison avec un produit dégradé. Avec une combinaison WETTY, tu restes au top de la performance bien plus longtemps.

Un impact environnemental divisé. Deux combinaisons sur 5 ans au lieu de cinq, c'est 60% de néoprène en moins dans les décharges. Multiplié par le nombre de surfeurs réguliers, l'impact collectif est significatif.

Le prix comme faux argument

On nous dit souvent : "Vos combinaisons sont chères."

C'est vrai si tu compares le prix d'achat. C'est faux si tu compares le coût par session.

Prenons un exemple concret. Une combinaison WETTY à 400 euros qui dure 200 sessions, c'est 2 euros par session. Une combinaison à 200 euros qui dure 80 sessions, c'est 2,50 euros par session.

Et on ne parle même pas du confort, de la chaleur, de l'étanchéité. On parle juste de mathématiques.

William Aliotti résume bien la logique :

"Je pourrais avoir des combinaisons gratuites de n'importe quelle marque. Je choisis WETTY parce que je ne veux pas changer de combi tous les quatre matins. Mon temps est précieux, je préfère le passer dans l'eau plutôt qu'à gérer des problèmes de matos."

Notre garantie : la preuve par les actes

On ne te demande pas de nous croire sur parole. On met notre argent là où est notre discours.

Toutes nos combinaisons sont garanties coutures pendant 6 mois à 1 an selon les modèles. Si une couture lâche dans des conditions d'utilisation normales, on répare ou on remplace.

Retour gratuit sous 30 jours en Europe. Si la combinaison ne te convient pas, tu nous la renvoies sans frais.

Et si tu as un souci après la période de garantie, contacte-nous. On a une politique de réparation pour prolonger la vie de nos produits plutôt que de t'envoyer en acheter un nouveau.

Stretch, prix, durabilité : qu'est-ce qui compte vraiment ?

Le stretch, c'est important. Le prix, c'est un facteur. Mais pour un surfeur qui pratique régulièrement, la durabilité devrait être le critère numéro un.

Parce qu'une combinaison souple qui craque au bout de 6 mois ne sert à rien. Parce qu'une combinaison pas chère que tu rachètes chaque année finit par coûter plus cher. Et parce qu'on ne peut pas continuer à traiter l'équipement de surf comme des vêtements jetables.

Notre gamme WARRIOR pour l'hiver, notre gamme mi-saison, nos combinaisons été… Tout est conçu avec la même exigence. Néoprène BIO SPONGE ou ASAHI, coutures GBS galonnées, assemblage artisanal.

Et pour ceux qui veulent aller encore plus loin dans la démarche, notre gamme ASAHI en néoprène japonais offre une longévité exceptionnelle. Certains de nos clients surfent avec la même combinaison ASAHI depuis 4 ans.

Tu veux investir dans du matériel qui dure ? Découvre toutes nos combinaisons et nos chaussons conçus avec la même philosophie. Parce que le meilleur déchet, c'est celui qu'on ne produit pas.